# 28 En route vers un autre climat (septembre 2019) (Re)bonds est un magazine mensuel créé par Fanny Lancelin, journaliste installée dans le Cher. Son but : à travers, des portraits d'habitant.es du Berry, raconter des parcours alternatifs, des modes de vie où le respect des êtres vivants et de leur environnement tient une place centrale. http://www.rebonds.net/28enrouteversunautreclimat/93-recreations 2023-05-11T19:22:13+02:00 (Re)bonds.net Joomla! - Open Source Content Management Ufeel, vélo électrique sans batterie et sans recharge 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/28enrouteversunautreclimat/93-recreations/531-ufeel Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/ufeel.jpg" /></p><p>Rouler à vélo, d'accord. Avec une assistance électrique, pourquoi pas&nbsp;? Mais recharger au nucléaire et stocker dans une batterie non recyclable, sûrement pas&nbsp;! Une équipe basée dans le Loiret assure avoir trouvé la solution&nbsp;: elle s'appelle Ufeel, premier vélo électrique sans batterie et sans recharge. Comment ça fonctionne&nbsp;?</p> <p>L'une des matières premières utilisées par la technologie Ufeel, c'est le muscle... Lorsque le cycliste pédale, il produit de l'énergie transformée en électricité et stockée, non pas dans des batteries au lithium (polluantes à produire et difficiles à recycler) mais dans des supercondensateurs recyclables constitués de carbone provenant de déchets végétaux, d'aluminium et de sel. Leur durée de vie serait cent fois supérieure à celle des batteries.</p> <p>Même à l'arrêt, à un feu rouge par exemple, un système permet de pédaler sur place et de continuer à produire de l'énergie. Celle-ci est restituée lorsque le cycliste a besoin d'assistance. Pas de chaîne&nbsp;: les vitesses sont choisies grâce à une pression du pouce au niveau du guidon.<br />Les supercondensateurs sont nés au Japon dans les années 1970 et se sont développés notamment aux Etats-Unis. Ils sont déjà utilisés dans l'automobile, l'aéronautique ou encore l'éolien.</p> <p>Autre avantage du Ufeel : son poids. Ceux et celles qui utilisent déjà des vélos électriques avec batteries le savent&nbsp;: ils sont lourds. Ufeel est plus léger de 30&nbsp;% en moyenne.</p> <p>Imaginé par un jeune ingénieur français, Adrien Lefevre, ce vélo électrique d'un nouveau genre a été développé par son entreprise, Veloci Industries, basée à Olivet près d'Orléans. Sa sortie commerciale est prévue pour le printemps 2020. Son prix avoisinnerait les 2.000 euros.</p> <p>En attendant, trois concepts sont présentés sur le site Internet&nbsp;; le public est invité à choisir pour celui qu'il préfère. Rendez-vous sur <a href="https://www.ufeel.fr/">https://www.ufeel.fr/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">Photo : Veloci Industries</span></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/ufeel.jpg" /></p><p>Rouler à vélo, d'accord. Avec une assistance électrique, pourquoi pas&nbsp;? Mais recharger au nucléaire et stocker dans une batterie non recyclable, sûrement pas&nbsp;! Une équipe basée dans le Loiret assure avoir trouvé la solution&nbsp;: elle s'appelle Ufeel, premier vélo électrique sans batterie et sans recharge. Comment ça fonctionne&nbsp;?</p> <p>L'une des matières premières utilisées par la technologie Ufeel, c'est le muscle... Lorsque le cycliste pédale, il produit de l'énergie transformée en électricité et stockée, non pas dans des batteries au lithium (polluantes à produire et difficiles à recycler) mais dans des supercondensateurs recyclables constitués de carbone provenant de déchets végétaux, d'aluminium et de sel. Leur durée de vie serait cent fois supérieure à celle des batteries.</p> <p>Même à l'arrêt, à un feu rouge par exemple, un système permet de pédaler sur place et de continuer à produire de l'énergie. Celle-ci est restituée lorsque le cycliste a besoin d'assistance. Pas de chaîne&nbsp;: les vitesses sont choisies grâce à une pression du pouce au niveau du guidon.<br />Les supercondensateurs sont nés au Japon dans les années 1970 et se sont développés notamment aux Etats-Unis. Ils sont déjà utilisés dans l'automobile, l'aéronautique ou encore l'éolien.</p> <p>Autre avantage du Ufeel : son poids. Ceux et celles qui utilisent déjà des vélos électriques avec batteries le savent&nbsp;: ils sont lourds. Ufeel est plus léger de 30&nbsp;% en moyenne.</p> <p>Imaginé par un jeune ingénieur français, Adrien Lefevre, ce vélo électrique d'un nouveau genre a été développé par son entreprise, Veloci Industries, basée à Olivet près d'Orléans. Sa sortie commerciale est prévue pour le printemps 2020. Son prix avoisinnerait les 2.000 euros.</p> <p>En attendant, trois concepts sont présentés sur le site Internet&nbsp;; le public est invité à choisir pour celui qu'il préfère. Rendez-vous sur <a href="https://www.ufeel.fr/">https://www.ufeel.fr/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">Photo : Veloci Industries</span></p> « Films pour la Terre » 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/28enrouteversunautreclimat/93-recreations/533-filmspourlaterre Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/youth_unstoppable.jpg" /></p><p>Le cinéma peut être un formidable média de sensibilisation aux problèmes de notre planète. Sur écran, les images témoignent, dénoncent, choquent, interrogent, émeuvent… Un site Internet rend accessibles de nombreux films sur le thème de l'environnement et la nature&nbsp;: filmsfortheearth.org</p> <p>Il est né grâce à l'association internationale «&nbsp;Films pour la Terre&nbsp;» basée en Suisse et comptant des sections en Suisse, Allemagne et en Autriche. Depuis onze ans, elle promeut la diffusion de documentaires et d'autres médias qui s'intéressent à notre planète. Elle acquiert des droits cinéma et les met à disposition gratuitement ou avec une réduction. C'est ainsi que la base de films répertoriés sur le site peut être visible librement ou en s'acquittant de quelques frais.</p> <p>De quoi parlent ces films&nbsp;? De climat, bien sûr, mais aussi d'énergie, d'alimentation, de mobilités, de permaculture, d'eau, de déchets, des conséquences sociales du dérèglement de la planète…</p> <p>Depuis 2011, l'association organise également un festival international, qui débute cette année le vendredi 20 septembre. Les films en compétition seront mis en ligne sur le site <a href="https://filmsfortheearth.org">https://filmsfortheearth.org</a></p> <p>On peut d'ores et déjà découvrir les lauréats des éditions précédentes comme, par exemple, «&nbsp;Honeyland&nbsp;» de Tamara Kotevska et Ljubomir Stefanov qui parle d'une «&nbsp;chasseuse d'abeilles&nbsp;»&nbsp;; «&nbsp;The Messenger&nbsp;» de Su Rynard sous-titré en français «&nbsp;Le silence des oiseaux&nbsp;»&nbsp;; «&nbsp;Youth Unstoppable&nbsp;» de Slater Jewell-Kemker sur l'histoire du mouvement mondial de la jeunesse&nbsp;; «&nbsp;Inhabit&nbsp;» de Costa Boutsikaris sur la permaculture&nbsp;; ou encore «&nbsp;The power of community&nbsp;» de Faith Morgan sur la survie à Cuba.</p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/youth_unstoppable.jpg" /></p><p>Le cinéma peut être un formidable média de sensibilisation aux problèmes de notre planète. Sur écran, les images témoignent, dénoncent, choquent, interrogent, émeuvent… Un site Internet rend accessibles de nombreux films sur le thème de l'environnement et la nature&nbsp;: filmsfortheearth.org</p> <p>Il est né grâce à l'association internationale «&nbsp;Films pour la Terre&nbsp;» basée en Suisse et comptant des sections en Suisse, Allemagne et en Autriche. Depuis onze ans, elle promeut la diffusion de documentaires et d'autres médias qui s'intéressent à notre planète. Elle acquiert des droits cinéma et les met à disposition gratuitement ou avec une réduction. C'est ainsi que la base de films répertoriés sur le site peut être visible librement ou en s'acquittant de quelques frais.</p> <p>De quoi parlent ces films&nbsp;? De climat, bien sûr, mais aussi d'énergie, d'alimentation, de mobilités, de permaculture, d'eau, de déchets, des conséquences sociales du dérèglement de la planète…</p> <p>Depuis 2011, l'association organise également un festival international, qui débute cette année le vendredi 20 septembre. Les films en compétition seront mis en ligne sur le site <a href="https://filmsfortheearth.org">https://filmsfortheearth.org</a></p> <p>On peut d'ores et déjà découvrir les lauréats des éditions précédentes comme, par exemple, «&nbsp;Honeyland&nbsp;» de Tamara Kotevska et Ljubomir Stefanov qui parle d'une «&nbsp;chasseuse d'abeilles&nbsp;»&nbsp;; «&nbsp;The Messenger&nbsp;» de Su Rynard sous-titré en français «&nbsp;Le silence des oiseaux&nbsp;»&nbsp;; «&nbsp;Youth Unstoppable&nbsp;» de Slater Jewell-Kemker sur l'histoire du mouvement mondial de la jeunesse&nbsp;; «&nbsp;Inhabit&nbsp;» de Costa Boutsikaris sur la permaculture&nbsp;; ou encore «&nbsp;The power of community&nbsp;» de Faith Morgan sur la survie à Cuba.</p> <p></p> « Vive le vélo ! », Chris Haddon et Lydon Mc Neil 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/28enrouteversunautreclimat/93-recreations/534-vivelevelochrishaddonetlydonmcneil Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/editions_ho_beke_-_livre_-_vive_le_v_lo.jpg" /></p><p>Le vélo n'est plus seulement un mode de transport ou de balade&nbsp;: objet de collection, sujet d'expression, outil d'exploration ou d'action militante, symbole de la transition écologique… Chris Haddon consacre un livre à ceux et celles qui ont su le renouveler de manière originale, partout dans le monde.</p> <p>Chris Haddon est un trentenaire anglais, designer, passionné par le monde rétro, «&nbsp;vintage&nbsp;». Pour «&nbsp;Vive le vélo&nbsp;!&nbsp;» (paru aux éditions Hoëbeke), il s'est associé au photographe Lydon Mc Neil. Ensemble, ils ont parcouru l'Europe, les Etats-Unis, l'Asie et l'Afrique pour saisir des lieux et <em>«&nbsp;des fanatiques du vélo&nbsp;»</em>&nbsp;: des collectionneurs, des designers, des membres de clubs, professionnels et amateurs. A partir des clichés du photographe, l'auteur a rédigé des témoignages organisés en quatre chapitres.</p> <p>Dans «&nbsp;Le vélo rassemble&nbsp;», il évoque les communautés de cyclistes, à travers des portraits comme celui de Briggy et sa cabane à vélos, celui du ministère des bicyclettes, de Gavin Strange et sa balade «&nbsp;Frites et vélos&nbsp;», de Karta et sa vélothèque, de l'assemblée des Guv'nors ou encore de Jérémy Baulin dit «&nbsp;le bikerist&nbsp;» à Paris…<br />Dans «&nbsp;Relever le défi&nbsp;», Chris Haddon s'intéresse à ceux qui se surpassent sur leurs deux roues sans moteur, comme ce cycliste qui a réalisé le tour du monde en grand-bi ou les adeptes du polo-vélo&nbsp;!<br />Place à l'inventivité et à la créativité dans le chapitre sur «&nbsp;Les non-conformistes&nbsp;». Par exemple&nbsp;? L'inventeur du vélo d'assaut urbain&nbsp;!<br />Enfin, dans «&nbsp;Changer les choses&nbsp;», Chris Haddon met en valeur ceux qui se servent du vélo pour <em>«&nbsp;sensibiliser le public aux économies d'énergie ou pour favoriser le développement dans certaines régions du monde&nbsp;»</em>. Là, une association l'utilise comme moyen d'éducation&nbsp;; là-bas, pour lutter contre le capitalisme&nbsp;; ici, pour venir en aide aux personnes défavorisées, financièrement et culturellement.</p> <p>Les photographies sont belles, les textes vivants. Seul bémol&nbsp;: la sous-représentativité des femmes, pourtant elles aussi largement adeptes de la «&nbsp;petite reine&nbsp;»...</p> <p>Plus de renseignements sur le site de la maison d'édition&nbsp;: <a href="http://www.hoebeke.fr/">http://www.hoebeke.fr/</a></p> <p></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/editions_ho_beke_-_livre_-_vive_le_v_lo.jpg" /></p><p>Le vélo n'est plus seulement un mode de transport ou de balade&nbsp;: objet de collection, sujet d'expression, outil d'exploration ou d'action militante, symbole de la transition écologique… Chris Haddon consacre un livre à ceux et celles qui ont su le renouveler de manière originale, partout dans le monde.</p> <p>Chris Haddon est un trentenaire anglais, designer, passionné par le monde rétro, «&nbsp;vintage&nbsp;». Pour «&nbsp;Vive le vélo&nbsp;!&nbsp;» (paru aux éditions Hoëbeke), il s'est associé au photographe Lydon Mc Neil. Ensemble, ils ont parcouru l'Europe, les Etats-Unis, l'Asie et l'Afrique pour saisir des lieux et <em>«&nbsp;des fanatiques du vélo&nbsp;»</em>&nbsp;: des collectionneurs, des designers, des membres de clubs, professionnels et amateurs. A partir des clichés du photographe, l'auteur a rédigé des témoignages organisés en quatre chapitres.</p> <p>Dans «&nbsp;Le vélo rassemble&nbsp;», il évoque les communautés de cyclistes, à travers des portraits comme celui de Briggy et sa cabane à vélos, celui du ministère des bicyclettes, de Gavin Strange et sa balade «&nbsp;Frites et vélos&nbsp;», de Karta et sa vélothèque, de l'assemblée des Guv'nors ou encore de Jérémy Baulin dit «&nbsp;le bikerist&nbsp;» à Paris…<br />Dans «&nbsp;Relever le défi&nbsp;», Chris Haddon s'intéresse à ceux qui se surpassent sur leurs deux roues sans moteur, comme ce cycliste qui a réalisé le tour du monde en grand-bi ou les adeptes du polo-vélo&nbsp;!<br />Place à l'inventivité et à la créativité dans le chapitre sur «&nbsp;Les non-conformistes&nbsp;». Par exemple&nbsp;? L'inventeur du vélo d'assaut urbain&nbsp;!<br />Enfin, dans «&nbsp;Changer les choses&nbsp;», Chris Haddon met en valeur ceux qui se servent du vélo pour <em>«&nbsp;sensibiliser le public aux économies d'énergie ou pour favoriser le développement dans certaines régions du monde&nbsp;»</em>. Là, une association l'utilise comme moyen d'éducation&nbsp;; là-bas, pour lutter contre le capitalisme&nbsp;; ici, pour venir en aide aux personnes défavorisées, financièrement et culturellement.</p> <p>Les photographies sont belles, les textes vivants. Seul bémol&nbsp;: la sous-représentativité des femmes, pourtant elles aussi largement adeptes de la «&nbsp;petite reine&nbsp;»...</p> <p>Plus de renseignements sur le site de la maison d'édition&nbsp;: <a href="http://www.hoebeke.fr/">http://www.hoebeke.fr/</a></p> <p></p> <p></p> « Objectif soleil – L'aventure Solar Impulse », B. Piccard et A. Borschberg 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/28enrouteversunautreclimat/93-recreations/535-objectifsoleillaventuresolarimpulse Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/solar_impulse.jpg" /></p><p>L'énergie solaire est une ressource inestimable. Grâce à elle, Bertrand Piccard et André Borschberg ont fait le tour du monde en avion sans une seule goutte de carburant. Cette aventure hors-normes a changé leur vie et pourrait changer celles de millions d'individus. Ils la racontent à deux voix.</p> <p>Depuis l'annonce du projet, le 28 novembre 2003, jusqu'à l'atterrissage de Solar Impulse 2, le 26 juillet 2016, les deux pilotes ont vécu une collaboration mouvementée, marquée par les espoirs et les doutes, les succès et les revers.</p> <p>A l'origine, Bertrand Piccard est médecin, psychiatre, mais aussi explorateur&nbsp;: il a réalisé le premier tour du monde en ballon sans escale. André Borschberg a été formé au pilotage par l'armée suisse, mais il est ingénieur et créateur de start-up. Décrits comme très différents, ils se sont toutefois associés pour fonder le projet Solar Impulse&nbsp;: fabriquer et faire voler un avion solaire, de jour comme de nuit, sur de longues distances. Entourés d'une solide équipe, à l'école polytechnique de Lausanne, ils ont mis treize ans, de l'atelier au ciel, à concrétiser leur rêve.</p> <p>Dans ce livre (édité chez Stock), ils livrent tour à tour leurs points de vue, les manières dont ils ont vécu cette aventure. Plus qu'un récit technique, il s'agit de l'histoire de deux hommes, de leur rivalité parfois, de leur complémentaire créativité toujours. <em>«&nbsp;J'en ai assez des gens qui ne parlent des changements climatiques que sous l'angle des problèmes&nbsp;»</em>, écrit Bertrand Piccard, qui souhaite surtout <em>«&nbsp;faire connaître les meilleures idées&nbsp;»</em>. <em>«&nbsp;C'est à cela que doit servir notre aventure.&nbsp;»</em></p> <p>C'est ainsi que Solar Impulse se poursuit aujourd'hui grâce à la fondation du même nom, qui a créé l'alliance mondiale des énergies propres pour fédérer les entreprises qui s'intéressent à ce domaine. Actuellement, 1.935 en font partie et 213 projets ont été labellisés par la fondation.</p> <p>Plus de renseignements sur le projet sur le site de la fondation&nbsp;: <a href="https://solarimpulse.com/">https://solarimpulse.com/</a> et sur celui de Bertrand Piccard&nbsp;: <a href="https://bertrandpiccard.com/exploration-avion-solaire">https://bertrandpiccard.com/exploration-avion-solaire</a></p> <p></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/VELO_SOLAIRE/solar_impulse.jpg" /></p><p>L'énergie solaire est une ressource inestimable. Grâce à elle, Bertrand Piccard et André Borschberg ont fait le tour du monde en avion sans une seule goutte de carburant. Cette aventure hors-normes a changé leur vie et pourrait changer celles de millions d'individus. Ils la racontent à deux voix.</p> <p>Depuis l'annonce du projet, le 28 novembre 2003, jusqu'à l'atterrissage de Solar Impulse 2, le 26 juillet 2016, les deux pilotes ont vécu une collaboration mouvementée, marquée par les espoirs et les doutes, les succès et les revers.</p> <p>A l'origine, Bertrand Piccard est médecin, psychiatre, mais aussi explorateur&nbsp;: il a réalisé le premier tour du monde en ballon sans escale. André Borschberg a été formé au pilotage par l'armée suisse, mais il est ingénieur et créateur de start-up. Décrits comme très différents, ils se sont toutefois associés pour fonder le projet Solar Impulse&nbsp;: fabriquer et faire voler un avion solaire, de jour comme de nuit, sur de longues distances. Entourés d'une solide équipe, à l'école polytechnique de Lausanne, ils ont mis treize ans, de l'atelier au ciel, à concrétiser leur rêve.</p> <p>Dans ce livre (édité chez Stock), ils livrent tour à tour leurs points de vue, les manières dont ils ont vécu cette aventure. Plus qu'un récit technique, il s'agit de l'histoire de deux hommes, de leur rivalité parfois, de leur complémentaire créativité toujours. <em>«&nbsp;J'en ai assez des gens qui ne parlent des changements climatiques que sous l'angle des problèmes&nbsp;»</em>, écrit Bertrand Piccard, qui souhaite surtout <em>«&nbsp;faire connaître les meilleures idées&nbsp;»</em>. <em>«&nbsp;C'est à cela que doit servir notre aventure.&nbsp;»</em></p> <p>C'est ainsi que Solar Impulse se poursuit aujourd'hui grâce à la fondation du même nom, qui a créé l'alliance mondiale des énergies propres pour fédérer les entreprises qui s'intéressent à ce domaine. Actuellement, 1.935 en font partie et 213 projets ont été labellisés par la fondation.</p> <p>Plus de renseignements sur le projet sur le site de la fondation&nbsp;: <a href="https://solarimpulse.com/">https://solarimpulse.com/</a> et sur celui de Bertrand Piccard&nbsp;: <a href="https://bertrandpiccard.com/exploration-avion-solaire">https://bertrandpiccard.com/exploration-avion-solaire</a></p> <p></p> <p></p>