# 32 Coopérations (janvier 2020) (Re)bonds est un magazine mensuel créé par Fanny Lancelin, journaliste installée dans le Cher. Son but : à travers, des portraits d'habitant.es du Berry, raconter des parcours alternatifs, des modes de vie où le respect des êtres vivants et de leur environnement tient une place centrale. http://www.rebonds.net/32cooperations/104-recreations 2023-05-11T19:24:08+02:00 (Re)bonds.net Joomla! - Open Source Content Management La Halle de Grossouvre 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/32cooperations/104-recreations/564-lahalledegrossouvre Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/halle_de_grossouvre.JPG" /></p><p>C'est un témoignage unique du passé industriel du Berry qui subsiste sur la petite commune de Grossouvre&nbsp;: une halle à charbon, aujourd'hui transformée en musée interactif, «&nbsp;L'espace métal – la Halle de Grossouvre&nbsp;».</p> <p>Toutes les conditions étaient réunies pour faire du Berry un haut-lieu de la métallurgie&nbsp;: étaient présents le minerai de fer, le bois et l'eau, ressources nécessaires à la production de fonte et d'acier. Situé au sud-est du département du Cher, le Val d'Aubois mit à profit ces ressources et bénéficia ainsi d'un développement industriel exceptionnel, dès le Moyen-Age.<br />Du milieu du XVIIe jusqu'au XIXe siècle, Grossouvre – 200 habitants – a contribué à cet essor. Selon Benoît Jamet, qui a réalisé son mémoire de master sur « Le patrimoine de l'industrie en Val d'Aubois&nbsp;» (Université de Tours, 2009),&nbsp;on retrouve la mention de la forge de Grossouvre sur une carte du XVIe siècle. Des haut-fourneaux s'y élevaient. La demande de fer augmentait alors, en même temps que les besoins de la Marine. A la fin du XVIIIe siècle, les forges de Grossouvre employaient près de 500 ouvriers. Elles étaient la propriété de marchands, et non de nobles. Durant la Révolution, les sites de Grossouvre furent réquisitionnés pour fabriquer des boulets de canon.Au XIXe siècle, la modernisation de l'outillage agricole, de l'artisanat et des transports (avec l'arrivée des chemins de fer) incita les établissements métallurgiques à s'adapter et à multiplier les innovations technologiques. Un des personnages célèbres de cette époque est Georges Dufaud, qui prit la direction de Grossouvre en 1815 et y introduisit des techniques de façonnage du fer inédites en France.</p> <p><em>«&nbsp;La « grosse forge » de Grossouvre se composait d’un haut-fourneau (d’environ sept mètres de hauteur) et d’une forge d’affinage. L’ensemble comprenait une halle à charbon de bois, trois autres halles, trois emplacements pour le minerai, des vannes pour les biefs d’eau, des roues hydrauliques, des soufflets, plusieurs champs, prés et logements dont la maison du commis, ainsi que le grand étang de Grossouvre alimenté par l’Aubois et la Fausse Rivière.&nbsp;»</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span> La halle à charbon, qui fait aujourd'hui office de musée, a été construite entre 1841 et 1844.<br />Le site de Grossouvre fut progressivement délaissé au profit de sites de la Nièvre et de l'Allier, qui présentaient une meilleure capacité d'adaptation technologique. Il s'arrêta de fonctionner en 1879.<br />Que reste-t-il de cette époque&nbsp;? La Halle à charbon, quelques maisons ouvrières mais aussi «&nbsp;les Galeries&nbsp;», un logement destiné à abriter des familles d'ouvriers, construit en 1833-1834. Il comprenait douze caves semi-enterrées au rez-de-chaussée et deux étages de six logements. Il abrite aujourd'hui des appartements.</p> <p>Quant à la Halle à charbon, elle fut classée Monument Historique en 1999. Grâce à l'association «&nbsp;Aubois, de Terres et de Feux&nbsp;» et les collectivités territoriales, elle a été réhabilitée et ouverte au public dès 2009. <em>«&nbsp;Sa surface au sol et sa hauteur la rangent parmi les plus vastes constructions jamais élevées dans les forges du Berry.&nbsp;»</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span> Remarquable par son architecture, elle est aussi intéressante grâce aux expositions qui y sont organisées à l'intérieur. Ainsi, l'exposition permanente retrace l'histoire de la métallurgie dans la région. Interactive, la scénographie mêle films, maquettes, photographies d'archives, reconstitution d'ateliers, présentation d'outils et d'objets, schémas pour comprendre le fonctionnement des fours, échantillons de minerai… Le visiteur découvre ainsi les différentes étapes de fabrication des rails, des ponts et des charpentes métalliques, ou encore des plaques d'égoût, des canalisations… La scénographie a été conçue et en partie animée par Jamy Gourmaud, le célèbre animateur de l'émission pédagogique et ludique «&nbsp;C'est pas sorcier&nbsp;!&nbsp;».</p> <p>La Halle de Grossouvre fait partie d'un circuit de découverte des sites industriels du Val d'Aubois qui comprend la tuilerie Sauvard à la Guerche-sur-l'Aubois (où se trouve un Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine <span style="font-size: 8pt;">(2)</span>) et le site des fonderies à Torteron. Elle est aussi une des étapes de «&nbsp;La Route européenne du patrimoine industriel&nbsp;».</p> <p>Tous les renseignements pratiques (jours et horaires d'ouverture, tarifs…) sont à retrouver sur le site <a href="https://www.espacemetal.com/">https://www.espacemetal.com/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) Source&nbsp;: «&nbsp;Le patrimoine de l’industrie métallurgique dans la vallée de l’Aubois (Cher) : l’exemple de Grossouvre&nbsp;» par Benoît Jamet. <a href="https://www.espacemetal.com/wp-content/uploads/2019/05/les-fontes.pdf">https://www.espacemetal.com/wp-content/uploads/2019/05/les-fontes.pdf</a><br />(2) <a href="https://www.ciap-latuilerie.fr/">https://www.ciap-latuilerie.fr/</a></span></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/halle_de_grossouvre.JPG" /></p><p>C'est un témoignage unique du passé industriel du Berry qui subsiste sur la petite commune de Grossouvre&nbsp;: une halle à charbon, aujourd'hui transformée en musée interactif, «&nbsp;L'espace métal – la Halle de Grossouvre&nbsp;».</p> <p>Toutes les conditions étaient réunies pour faire du Berry un haut-lieu de la métallurgie&nbsp;: étaient présents le minerai de fer, le bois et l'eau, ressources nécessaires à la production de fonte et d'acier. Situé au sud-est du département du Cher, le Val d'Aubois mit à profit ces ressources et bénéficia ainsi d'un développement industriel exceptionnel, dès le Moyen-Age.<br />Du milieu du XVIIe jusqu'au XIXe siècle, Grossouvre – 200 habitants – a contribué à cet essor. Selon Benoît Jamet, qui a réalisé son mémoire de master sur « Le patrimoine de l'industrie en Val d'Aubois&nbsp;» (Université de Tours, 2009),&nbsp;on retrouve la mention de la forge de Grossouvre sur une carte du XVIe siècle. Des haut-fourneaux s'y élevaient. La demande de fer augmentait alors, en même temps que les besoins de la Marine. A la fin du XVIIIe siècle, les forges de Grossouvre employaient près de 500 ouvriers. Elles étaient la propriété de marchands, et non de nobles. Durant la Révolution, les sites de Grossouvre furent réquisitionnés pour fabriquer des boulets de canon.Au XIXe siècle, la modernisation de l'outillage agricole, de l'artisanat et des transports (avec l'arrivée des chemins de fer) incita les établissements métallurgiques à s'adapter et à multiplier les innovations technologiques. Un des personnages célèbres de cette époque est Georges Dufaud, qui prit la direction de Grossouvre en 1815 et y introduisit des techniques de façonnage du fer inédites en France.</p> <p><em>«&nbsp;La « grosse forge » de Grossouvre se composait d’un haut-fourneau (d’environ sept mètres de hauteur) et d’une forge d’affinage. L’ensemble comprenait une halle à charbon de bois, trois autres halles, trois emplacements pour le minerai, des vannes pour les biefs d’eau, des roues hydrauliques, des soufflets, plusieurs champs, prés et logements dont la maison du commis, ainsi que le grand étang de Grossouvre alimenté par l’Aubois et la Fausse Rivière.&nbsp;»</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span> La halle à charbon, qui fait aujourd'hui office de musée, a été construite entre 1841 et 1844.<br />Le site de Grossouvre fut progressivement délaissé au profit de sites de la Nièvre et de l'Allier, qui présentaient une meilleure capacité d'adaptation technologique. Il s'arrêta de fonctionner en 1879.<br />Que reste-t-il de cette époque&nbsp;? La Halle à charbon, quelques maisons ouvrières mais aussi «&nbsp;les Galeries&nbsp;», un logement destiné à abriter des familles d'ouvriers, construit en 1833-1834. Il comprenait douze caves semi-enterrées au rez-de-chaussée et deux étages de six logements. Il abrite aujourd'hui des appartements.</p> <p>Quant à la Halle à charbon, elle fut classée Monument Historique en 1999. Grâce à l'association «&nbsp;Aubois, de Terres et de Feux&nbsp;» et les collectivités territoriales, elle a été réhabilitée et ouverte au public dès 2009. <em>«&nbsp;Sa surface au sol et sa hauteur la rangent parmi les plus vastes constructions jamais élevées dans les forges du Berry.&nbsp;»</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span> Remarquable par son architecture, elle est aussi intéressante grâce aux expositions qui y sont organisées à l'intérieur. Ainsi, l'exposition permanente retrace l'histoire de la métallurgie dans la région. Interactive, la scénographie mêle films, maquettes, photographies d'archives, reconstitution d'ateliers, présentation d'outils et d'objets, schémas pour comprendre le fonctionnement des fours, échantillons de minerai… Le visiteur découvre ainsi les différentes étapes de fabrication des rails, des ponts et des charpentes métalliques, ou encore des plaques d'égoût, des canalisations… La scénographie a été conçue et en partie animée par Jamy Gourmaud, le célèbre animateur de l'émission pédagogique et ludique «&nbsp;C'est pas sorcier&nbsp;!&nbsp;».</p> <p>La Halle de Grossouvre fait partie d'un circuit de découverte des sites industriels du Val d'Aubois qui comprend la tuilerie Sauvard à la Guerche-sur-l'Aubois (où se trouve un Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine <span style="font-size: 8pt;">(2)</span>) et le site des fonderies à Torteron. Elle est aussi une des étapes de «&nbsp;La Route européenne du patrimoine industriel&nbsp;».</p> <p>Tous les renseignements pratiques (jours et horaires d'ouverture, tarifs…) sont à retrouver sur le site <a href="https://www.espacemetal.com/">https://www.espacemetal.com/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) Source&nbsp;: «&nbsp;Le patrimoine de l’industrie métallurgique dans la vallée de l’Aubois (Cher) : l’exemple de Grossouvre&nbsp;» par Benoît Jamet. <a href="https://www.espacemetal.com/wp-content/uploads/2019/05/les-fontes.pdf">https://www.espacemetal.com/wp-content/uploads/2019/05/les-fontes.pdf</a><br />(2) <a href="https://www.ciap-latuilerie.fr/">https://www.ciap-latuilerie.fr/</a></span></p> La Maison des Métallos 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/32cooperations/104-recreations/565-lamaisondesmetallos Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/maison-des-metallurgistes.jpg" /></p><p>Une lyre en fer forgé rappelle que la Maison des Métallos, dans le 11e arrondissement de Paris, fabriquait autrefois des instruments de musique. Elle abrite aujourd'hui un établissement public de coopération culturelle.</p> <p>La rue porte le nom du résistant Jean-Pierre Timbaud, mais en 1881, elle s'appellait rue d'Angoulême. Au numéro 94, un bâtiment de la manufacture d'instruments de musique Gautrot, qui devint plus tard Couesnon, marque mondialement connue. Elle faisait la joie notamment des jazzmen américains. Mais suite à la crise de 1929, la production chuta et Couesnon dut fermer ses portes dans le 11e arrondissement en 1936.<br />Avec le Front Populaire, le syndicalisme était en plein essor. La CGT métallurgie était ainsi passée de 10.000 à 250.000 adhérents&nbsp;! Il lui fallait un bâtiment rassemblant ses services administratifs et de documentation, des salles de réunion, un conseil juridique, une cantine, une librairie, une salle de sports et... une salle de musique. Grâce à l'argent des adhérents, le 94 de la rue d'Angoulême devint la Maison des Métallurgistes, inaugurée le 2 mai 1937. Quelques mois plus tard, l'Union Fraternelle des Métallurgistes (UFM) vit le jour et eut pour responsabilité la gestion de la Maison. Les valeurs qui animaient le lieu&nbsp;? L'émancipation, la solidarité et la fraternité.</p> <p>En 1997, face aux difficultés que rencontraient les organisations syndicales avec la diminution du nombre de leurs adhérents, l'UFM fut contrainte de vendre. Pour éviter que des promoteurs privés s'emparent de ce lieu historique et symbolique, les associations, habitants et élus du quartier se mobilisèrent et créèrent le Collectif Interassociatif. La Mairie de Paris accepta finalement de racheter le site et de le restructurer.</p> <p>Désormais, la Maison des Métallos se compose de bureaux pour l'équipe administrative, d’une salle de spectacle, d’une salle claire sous verrière, d’une dizaine de salles de travail dont deux studios audio et vidéo, et du Café des Métallos. Quatre axes ont été définis&nbsp;: les spectacles vivants ; les débats publics ; les manifestations associatives&nbsp;; le «&nbsp;chantier numérique ». Ils se reflètent dans la programmation proposée au public.<br />Par exemple, en janvier et février, sont organisés&nbsp;: des rencontres avec des philosophes&nbsp;; des ateliers et des fabriques en collaboration étroite avec le public&nbsp;; des «&nbsp;fiestas&nbsp;»&nbsp;; des spectacles, performances, projections de films… Chaque événement interpelle, interroge, apprend, amuse…</p> <p>Le programme complet et toute l'histoire de ce lieu mythique&nbsp;sont à retrouver sur le site : <a href="https://www.maisondesmetallos.paris/fr">https://www.maisondesmetallos.paris/f</a></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/maison-des-metallurgistes.jpg" /></p><p>Une lyre en fer forgé rappelle que la Maison des Métallos, dans le 11e arrondissement de Paris, fabriquait autrefois des instruments de musique. Elle abrite aujourd'hui un établissement public de coopération culturelle.</p> <p>La rue porte le nom du résistant Jean-Pierre Timbaud, mais en 1881, elle s'appellait rue d'Angoulême. Au numéro 94, un bâtiment de la manufacture d'instruments de musique Gautrot, qui devint plus tard Couesnon, marque mondialement connue. Elle faisait la joie notamment des jazzmen américains. Mais suite à la crise de 1929, la production chuta et Couesnon dut fermer ses portes dans le 11e arrondissement en 1936.<br />Avec le Front Populaire, le syndicalisme était en plein essor. La CGT métallurgie était ainsi passée de 10.000 à 250.000 adhérents&nbsp;! Il lui fallait un bâtiment rassemblant ses services administratifs et de documentation, des salles de réunion, un conseil juridique, une cantine, une librairie, une salle de sports et... une salle de musique. Grâce à l'argent des adhérents, le 94 de la rue d'Angoulême devint la Maison des Métallurgistes, inaugurée le 2 mai 1937. Quelques mois plus tard, l'Union Fraternelle des Métallurgistes (UFM) vit le jour et eut pour responsabilité la gestion de la Maison. Les valeurs qui animaient le lieu&nbsp;? L'émancipation, la solidarité et la fraternité.</p> <p>En 1997, face aux difficultés que rencontraient les organisations syndicales avec la diminution du nombre de leurs adhérents, l'UFM fut contrainte de vendre. Pour éviter que des promoteurs privés s'emparent de ce lieu historique et symbolique, les associations, habitants et élus du quartier se mobilisèrent et créèrent le Collectif Interassociatif. La Mairie de Paris accepta finalement de racheter le site et de le restructurer.</p> <p>Désormais, la Maison des Métallos se compose de bureaux pour l'équipe administrative, d’une salle de spectacle, d’une salle claire sous verrière, d’une dizaine de salles de travail dont deux studios audio et vidéo, et du Café des Métallos. Quatre axes ont été définis&nbsp;: les spectacles vivants ; les débats publics ; les manifestations associatives&nbsp;; le «&nbsp;chantier numérique ». Ils se reflètent dans la programmation proposée au public.<br />Par exemple, en janvier et février, sont organisés&nbsp;: des rencontres avec des philosophes&nbsp;; des ateliers et des fabriques en collaboration étroite avec le public&nbsp;; des «&nbsp;fiestas&nbsp;»&nbsp;; des spectacles, performances, projections de films… Chaque événement interpelle, interroge, apprend, amuse…</p> <p>Le programme complet et toute l'histoire de ce lieu mythique&nbsp;sont à retrouver sur le site : <a href="https://www.maisondesmetallos.paris/fr">https://www.maisondesmetallos.paris/f</a></p> La forge devenue salle de spectacle 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/32cooperations/104-recreations/566-laforgedevenuesalledespectacle Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/la_forge.jpeg" /></p><p>A Aubigny-sur-Nère, dans le département du Cher, l'ancienne forge est devenue salle de spectacle. D'une capacité de 500 places assises, elle accueille des compagnies et des groupes venus du Berry, mais aussi de partout en France.</p> <p>Dans le cadre de la saison culturelle organisée par la Communauté de communes Sauldre et Sologne, voici les rendez-vous que la Forge accueillera durant l'année 2020&nbsp;:<br />- dimanche 2 février à 16 h 30&nbsp;: «&nbsp;Les pompes funèbres Bémot&nbsp;» de S. Bruyant par la compagnie Cavalcade (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 15 mars à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;Carnet de notes&nbsp;» par la compagnie du Sans Souci (théâtre musical)&nbsp;;<br />- jeudi 16 avril à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;La note muette&nbsp;» par la compagnie du Petit Monde (théâtre d'objets tout public)&nbsp;;<br />- samedi 18 avril à 20 h&nbsp;: François Rousselot et l'harmonie des fêtes franco-écossaises (concert)&nbsp;;<br />- mercredi 3 juin à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;Zoom dada&nbsp;» par le Théâtre Bascule (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 13 juin à 20 h et dimanche 14 juin à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;Shake ton spear&nbsp;» par les ateliers de la compagnie Poupées Russes (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 26 septembre à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;L'Atelier de Marie-Claire&nbsp;» d'après les romans de Marguerite Audoux, par Les Marguerite, troupe amateure de la compagnie Poupées Russes (théâtre tout public) <span style="font-size: 8pt;">(1)</span>&nbsp;;<br />- samedi 14 novembre à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;Hip, hip, hip&nbsp;» par Lili Cros et Thierry Chazelle (concert)&nbsp;;<br />- dimanche 22 novembre à 16 h 30&nbsp;: «&nbsp;Cherche jeune fille pour baby-sitting&nbsp;», d'après le roman d'Eva Kavian, par la compagnie Chat Pitre (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 5 décembre à 20 h 30 et dimanche 6 décembre à 16 h&nbsp;: «&nbsp;Comédie théâtrale&nbsp;» par Patrice Marsollier et Stu'art théâtre (théâtre tout public).</p> <p>Les autres rendez-vous de la Communauté de communes et les informations pratiques sont à retrouver sur le site&nbsp;: <a href="https://www.sauldre-sologne.fr/saison-culturelle-intercommunale_fr.html">https://www.sauldre-sologne.fr/saison-culturelle-intercommunale_fr.html</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) Lire aussi le numéro 31 de (Re)bonds sur la compagnie Poupées Russes. Accès aux archives par la page d'accueil, onglet en haut à droite.</span></p> <p></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/la_forge.jpeg" /></p><p>A Aubigny-sur-Nère, dans le département du Cher, l'ancienne forge est devenue salle de spectacle. D'une capacité de 500 places assises, elle accueille des compagnies et des groupes venus du Berry, mais aussi de partout en France.</p> <p>Dans le cadre de la saison culturelle organisée par la Communauté de communes Sauldre et Sologne, voici les rendez-vous que la Forge accueillera durant l'année 2020&nbsp;:<br />- dimanche 2 février à 16 h 30&nbsp;: «&nbsp;Les pompes funèbres Bémot&nbsp;» de S. Bruyant par la compagnie Cavalcade (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 15 mars à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;Carnet de notes&nbsp;» par la compagnie du Sans Souci (théâtre musical)&nbsp;;<br />- jeudi 16 avril à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;La note muette&nbsp;» par la compagnie du Petit Monde (théâtre d'objets tout public)&nbsp;;<br />- samedi 18 avril à 20 h&nbsp;: François Rousselot et l'harmonie des fêtes franco-écossaises (concert)&nbsp;;<br />- mercredi 3 juin à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;Zoom dada&nbsp;» par le Théâtre Bascule (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 13 juin à 20 h et dimanche 14 juin à 15 h 30&nbsp;: «&nbsp;Shake ton spear&nbsp;» par les ateliers de la compagnie Poupées Russes (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 26 septembre à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;L'Atelier de Marie-Claire&nbsp;» d'après les romans de Marguerite Audoux, par Les Marguerite, troupe amateure de la compagnie Poupées Russes (théâtre tout public) <span style="font-size: 8pt;">(1)</span>&nbsp;;<br />- samedi 14 novembre à 20 h 30&nbsp;: «&nbsp;Hip, hip, hip&nbsp;» par Lili Cros et Thierry Chazelle (concert)&nbsp;;<br />- dimanche 22 novembre à 16 h 30&nbsp;: «&nbsp;Cherche jeune fille pour baby-sitting&nbsp;», d'après le roman d'Eva Kavian, par la compagnie Chat Pitre (théâtre tout public)&nbsp;;<br />- samedi 5 décembre à 20 h 30 et dimanche 6 décembre à 16 h&nbsp;: «&nbsp;Comédie théâtrale&nbsp;» par Patrice Marsollier et Stu'art théâtre (théâtre tout public).</p> <p>Les autres rendez-vous de la Communauté de communes et les informations pratiques sont à retrouver sur le site&nbsp;: <a href="https://www.sauldre-sologne.fr/saison-culturelle-intercommunale_fr.html">https://www.sauldre-sologne.fr/saison-culturelle-intercommunale_fr.html</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) Lire aussi le numéro 31 de (Re)bonds sur la compagnie Poupées Russes. Accès aux archives par la page d'accueil, onglet en haut à droite.</span></p> <p></p> <p></p> Formes des luttes 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/32cooperations/104-recreations/567-formesdesluttes Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/FormesDesLuttes-A3-LWO-CMJN.jpg" /></p><p>C'est de saison&nbsp;! A chaque période de résistance, poussent sur les murs, comme des champignons, des slogans, des affiches, des graffs… Le collectif «&nbsp;Formes des luttes&nbsp;» s'attaque plus particulièrement à la réforme des retraites.</p> <p>Le texte fondateur du collectif est clair&nbsp;:<br /><em>«&nbsp;Le gouvernement a lancé une attaque sans précédent sur notre système de retraites, qui va pénaliser l’ensemble des salariés, du public comme du privé, bien au-delà des seuls régimes spéciaux. Cette attaque fait suite à de nombreuses autres, contre le droit du travail, contre le droit au chômage, contre les services publics, contre les droits des immigrés, etc. Macron incarne avec une violence inédite la logique néolibérale, la défense des intérêts des plus riches, déterminés à détruire toutes les formes de solidarité et tout ce qui peut faire obstacle à l’exploitation sans frein des humains et de la nature.</em><br /><em>Face à cela, nous, graphistes, artistes, illustrateurs/trices, souvent précaires, la plupart du temps indépendants, ne sommes pas en mesure de faire grève et de bloquer l'économie. Mais nous sommes déterminés à mener la lutte avec nos moyens, ceux de l’image, en apportant notre soutien graphique aux mobilisations en cours et notamment aux secteurs en première ligne des grèves et des blocages. Les affiches présentes sur ce site sont toutes téléchargeables et utilisables gratuitement dans le cadre de ces mobilisations. Une partie a été imprimée en autocollants que nous diffusons lors des manifestations. Près de 60 graphistes ont d’ores et déjà contribué par leurs créations.&nbsp;»</em></p> <p>Les affiches sont drôles, parfois choquantes, toujours efficaces. Elles sont faites de collages, d'images détournées, de mots et de gros mots. Et la collection s'enrichit de jour en jour. Revenez-y souvent&nbsp;: <a href="http://www.formesdesluttes.org/">http://www.formesdesluttes.org/</a></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/ATELIERS_PARTAGES/FormesDesLuttes-A3-LWO-CMJN.jpg" /></p><p>C'est de saison&nbsp;! A chaque période de résistance, poussent sur les murs, comme des champignons, des slogans, des affiches, des graffs… Le collectif «&nbsp;Formes des luttes&nbsp;» s'attaque plus particulièrement à la réforme des retraites.</p> <p>Le texte fondateur du collectif est clair&nbsp;:<br /><em>«&nbsp;Le gouvernement a lancé une attaque sans précédent sur notre système de retraites, qui va pénaliser l’ensemble des salariés, du public comme du privé, bien au-delà des seuls régimes spéciaux. Cette attaque fait suite à de nombreuses autres, contre le droit du travail, contre le droit au chômage, contre les services publics, contre les droits des immigrés, etc. Macron incarne avec une violence inédite la logique néolibérale, la défense des intérêts des plus riches, déterminés à détruire toutes les formes de solidarité et tout ce qui peut faire obstacle à l’exploitation sans frein des humains et de la nature.</em><br /><em>Face à cela, nous, graphistes, artistes, illustrateurs/trices, souvent précaires, la plupart du temps indépendants, ne sommes pas en mesure de faire grève et de bloquer l'économie. Mais nous sommes déterminés à mener la lutte avec nos moyens, ceux de l’image, en apportant notre soutien graphique aux mobilisations en cours et notamment aux secteurs en première ligne des grèves et des blocages. Les affiches présentes sur ce site sont toutes téléchargeables et utilisables gratuitement dans le cadre de ces mobilisations. Une partie a été imprimée en autocollants que nous diffusons lors des manifestations. Près de 60 graphistes ont d’ores et déjà contribué par leurs créations.&nbsp;»</em></p> <p>Les affiches sont drôles, parfois choquantes, toujours efficaces. Elles sont faites de collages, d'images détournées, de mots et de gros mots. Et la collection s'enrichit de jour en jour. Revenez-y souvent&nbsp;: <a href="http://www.formesdesluttes.org/">http://www.formesdesluttes.org/</a></p> <p></p>