# 24 De la Gazette à l'Antidote (avril 2019) (Re)bonds est un magazine mensuel créé par Fanny Lancelin, journaliste installée dans le Cher. Son but : à travers, des portraits d'habitant.es du Berry, raconter des parcours alternatifs, des modes de vie où le respect des êtres vivants et de leur environnement tient une place centrale. http://www.rebonds.net/delagazettealantidote/85-recreations 2023-05-11T19:20:56+02:00 (Re)bonds.net Joomla! - Open Source Content Management « Des hommes d'images », John G. Morris 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/delagazettealantidote/85-recreations/499-deshommesdimages Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/des_hommes_dimages.jpg" /></p><p>Beaucoup moins célèbre que ses amis Robert Capa, «&nbsp;Chim&nbsp;» ou Henri Cartier-Bresson, John G. Morris est pourtant une figure incontournable du journalisme et, plus particulièrement, du photojournalisme. Son livre est celui d'un passionné et d'un véritable passeur.</p> <p>John Godfrey Morris est né en 1916 aux Etats-Unis et il est décédé cent ans plus tard à Paris. Durant toute sa vie, il a observé l'évolution de la presse écrite, et y a contribué activement, notamment par la photographie. Dans son livre autobiographique, «&nbsp;Des hommes d'images - Une vie de photojournalisme&nbsp;» (éditions de La Martinière), il raconte comment l'image est entrée progressivement dans les foyers, pour informer, éduquer, choquer, provoquer, révéler… et pas seulement illustrer. Pour John G. Morris, la vocation du photojournalisme est de <em>«&nbsp;poser sur le monde un regard engagé&nbsp;»</em>. Les journalistes ne sont pas neutres et les photo-éditeurs comme lui non plus.</p> <p>Durant ses études de sciences-politiques, il créa une revue avec des amis. Une fois diplômé, il commença comme garçon de bureau et gravit progressivement les échelons pour devenir, aux débuts des années 1940, «&nbsp;photo editor&nbsp;» au sein de l'hebdomadaire <em>Life</em>, au bureau de Londres. Son rôle&nbsp;? Assister les photographes, les envoyer en reportage selon les commandes de la rédaction, puis choisir et mettre en scène leurs images.</p> <p>C'est ainsi qu'il eut la lourde responsabilité des clichés de Robert Capa pris durant le Débarquement des Alliés en 1944 à Omaha Beach. Capa devint d'ailleurs un véritable ami, tout comme David Seymour alias «&nbsp;Chim&nbsp;», Henri Cartier-Bresson et George Rodger, les fondateurs de l'agence Magnum, qu'il dirigea de 1953 à 1961. De <em>Life </em>au <em>National Geographic</em> en passant par le <em>Ladies' Home Journal</em>, le <em>Washington Post</em> et le <em>New York Times</em>, la carrière de John G. Morris est liée aux grands événements du XXe siècle et aux grands noms qui font désormais l'histoire du journalisme&nbsp;: W. Eugene Smith, Myron Davis, George Silk, Elliott Erwitt, James Nachtwey, Lee Miller…</p> <p>Chaque fois que je repense à ce livre passionnant et que je regarde la couverture représentant l'un des plus talentueux et engagés photojournalistes, James Nachtwey, je repense à l'une de ses «&nbsp;anecdotes&nbsp;». Un jour de novembre 1998, alors qu'il se trouvait à Djakarta et prenait des photos d'un Chrétien poursuivi par une foule, il s'interposa pour éviter le lynchage. Un de ses confrères de l'agence Reuters raconta plus tard que James Nachtwey supplia la foule pendant près de vingt minutes à genoux. En vain. Mais il jura de continuer&nbsp;: le journaliste simple témoin de son époque, trop peu pour lui.<em> «&nbsp;Si tout se passe dans l'ombre, tout peut arriver. Il faut regarder la réalité en face. Il faut faire quelque chose, sinon qui le fera ? »</em><span style="font-size: 8pt;"> (1)</span></p> <p>C'est cet esprit de combat et cette éthique que John G. Morris raconte. Passionnant, son livre est d'autant plus précieux aujourd'hui, que l'on vit une époque où chacun.e peut se prétendre journaliste et photographe, confondant le rôle de témoin et celui de messager.</p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) «&nbsp;James Nachtwey, photographe de l'antiguerre&nbsp;» par Armelle Canitrot, journal La Croix daté du 18 novembre 2002 : <a href="https://www.la-croix.com/Archives/2002-11-18/James-Nachtwey-photographe-de-l-anti-guerre-_NP_-2002-11-18-170051">https://www.la-croix.com/Archives/2002-11-18/James-Nachtwey-photographe-de-l-anti-guerre-_NP_-2002-11-18-170051</a></span></p> <p></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/des_hommes_dimages.jpg" /></p><p>Beaucoup moins célèbre que ses amis Robert Capa, «&nbsp;Chim&nbsp;» ou Henri Cartier-Bresson, John G. Morris est pourtant une figure incontournable du journalisme et, plus particulièrement, du photojournalisme. Son livre est celui d'un passionné et d'un véritable passeur.</p> <p>John Godfrey Morris est né en 1916 aux Etats-Unis et il est décédé cent ans plus tard à Paris. Durant toute sa vie, il a observé l'évolution de la presse écrite, et y a contribué activement, notamment par la photographie. Dans son livre autobiographique, «&nbsp;Des hommes d'images - Une vie de photojournalisme&nbsp;» (éditions de La Martinière), il raconte comment l'image est entrée progressivement dans les foyers, pour informer, éduquer, choquer, provoquer, révéler… et pas seulement illustrer. Pour John G. Morris, la vocation du photojournalisme est de <em>«&nbsp;poser sur le monde un regard engagé&nbsp;»</em>. Les journalistes ne sont pas neutres et les photo-éditeurs comme lui non plus.</p> <p>Durant ses études de sciences-politiques, il créa une revue avec des amis. Une fois diplômé, il commença comme garçon de bureau et gravit progressivement les échelons pour devenir, aux débuts des années 1940, «&nbsp;photo editor&nbsp;» au sein de l'hebdomadaire <em>Life</em>, au bureau de Londres. Son rôle&nbsp;? Assister les photographes, les envoyer en reportage selon les commandes de la rédaction, puis choisir et mettre en scène leurs images.</p> <p>C'est ainsi qu'il eut la lourde responsabilité des clichés de Robert Capa pris durant le Débarquement des Alliés en 1944 à Omaha Beach. Capa devint d'ailleurs un véritable ami, tout comme David Seymour alias «&nbsp;Chim&nbsp;», Henri Cartier-Bresson et George Rodger, les fondateurs de l'agence Magnum, qu'il dirigea de 1953 à 1961. De <em>Life </em>au <em>National Geographic</em> en passant par le <em>Ladies' Home Journal</em>, le <em>Washington Post</em> et le <em>New York Times</em>, la carrière de John G. Morris est liée aux grands événements du XXe siècle et aux grands noms qui font désormais l'histoire du journalisme&nbsp;: W. Eugene Smith, Myron Davis, George Silk, Elliott Erwitt, James Nachtwey, Lee Miller…</p> <p>Chaque fois que je repense à ce livre passionnant et que je regarde la couverture représentant l'un des plus talentueux et engagés photojournalistes, James Nachtwey, je repense à l'une de ses «&nbsp;anecdotes&nbsp;». Un jour de novembre 1998, alors qu'il se trouvait à Djakarta et prenait des photos d'un Chrétien poursuivi par une foule, il s'interposa pour éviter le lynchage. Un de ses confrères de l'agence Reuters raconta plus tard que James Nachtwey supplia la foule pendant près de vingt minutes à genoux. En vain. Mais il jura de continuer&nbsp;: le journaliste simple témoin de son époque, trop peu pour lui.<em> «&nbsp;Si tout se passe dans l'ombre, tout peut arriver. Il faut regarder la réalité en face. Il faut faire quelque chose, sinon qui le fera ? »</em><span style="font-size: 8pt;"> (1)</span></p> <p>C'est cet esprit de combat et cette éthique que John G. Morris raconte. Passionnant, son livre est d'autant plus précieux aujourd'hui, que l'on vit une époque où chacun.e peut se prétendre journaliste et photographe, confondant le rôle de témoin et celui de messager.</p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) «&nbsp;James Nachtwey, photographe de l'antiguerre&nbsp;» par Armelle Canitrot, journal La Croix daté du 18 novembre 2002 : <a href="https://www.la-croix.com/Archives/2002-11-18/James-Nachtwey-photographe-de-l-anti-guerre-_NP_-2002-11-18-170051">https://www.la-croix.com/Archives/2002-11-18/James-Nachtwey-photographe-de-l-anti-guerre-_NP_-2002-11-18-170051</a></span></p> <p></p> <p></p> Fromage végétal à l'aïl des ours 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/delagazettealantidote/85-recreations/500-fromagealaildesours Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/aïl_des_ours.jpg" /></p><p><em></em>Il est là&nbsp;! Le moment (que j'ai) tant attendu est arrivé&nbsp;: l'aïl des ours tapisse les sous-bois&nbsp;! En pesto, en salade, en terrine… les recettes ne manquent pas. Je ne résiste pas à la tentation de vous proposer un double délice : la délicieuse plante associée à un fromage végétal.</p> <p>Un fromage végétal&nbsp;? Oui&nbsp;! Quand on veut sauver la planète mais qu'on adore la feta ou le camembert, on devient très inventif&nbsp;! Ne souriez pas, goguenard.es&nbsp;! Goûtez et vous serez (agréablement) surpris.es.<br />Mieux, faites-le vous même. Allons au plus simple&nbsp;: le tartinable.</p> <p>Prenez 150 grammes de noix de cajou non grillées et mettez-les à tremper durant environ six heures. Egouttez-les et mixez-les en y ajoutant une cuillère à soupe de citron et une dizaine de feuilles d'aïl des ours.<br />Faites bouillir 1,5 litre de lait de soja nature et ajoutez-y trois cuillères à café de sel (ou, mieux, du nigari). En refroidissant, votre lait va cailler. C'est pour cela que, même végétal, le terme fromage reste employé&nbsp;!<br />Egouttez la préparation caillée dans une passoire et mélangez-la avec celle des noix de cajou. Réservez au frais avant de servir.</p> <p>Une variante&nbsp;? Au lieu d'utiliser du lait de soja, prenez 100 grammes de tofu que vous mixerez dès le départ avec les noix de cajou, le citron, le sel et l'aïl des ours.</p> <p>Pour tout savoir sur cette plante au goût et vertus formidables, (re)lisez l'article de (Re)bonds sur le livre de Linda Louis, «&nbsp;L'appel gourmand de la forêt&nbsp;» (Editions La Plage) ici&nbsp;: <a href="http://www.rebonds.net/quandlaforetdebordeetsepropage/461-lappelgourmanddelindalouis">http://rebonds.net/quandlaforetdebordeetsepropage/461-lappelgourmanddelindalouis</a></p> <p>Et pour tout savoir des fromages végétaux – ricotta, parmesan, bûche, cancoillotte ou encore gouda – ruez-vous sur celui de Marie Laforêt, «&nbsp;Fromages Vegan&nbsp;» (Editions La Plage)&nbsp;: <a href="https://www.laplage.fr/catalogue/fromages-vegan-marie-laforet/">https://www.laplage.fr/catalogue/fromages-vegan-marie-laforet/</a></p> <p></p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/aïl_des_ours.jpg" /></p><p><em></em>Il est là&nbsp;! Le moment (que j'ai) tant attendu est arrivé&nbsp;: l'aïl des ours tapisse les sous-bois&nbsp;! En pesto, en salade, en terrine… les recettes ne manquent pas. Je ne résiste pas à la tentation de vous proposer un double délice : la délicieuse plante associée à un fromage végétal.</p> <p>Un fromage végétal&nbsp;? Oui&nbsp;! Quand on veut sauver la planète mais qu'on adore la feta ou le camembert, on devient très inventif&nbsp;! Ne souriez pas, goguenard.es&nbsp;! Goûtez et vous serez (agréablement) surpris.es.<br />Mieux, faites-le vous même. Allons au plus simple&nbsp;: le tartinable.</p> <p>Prenez 150 grammes de noix de cajou non grillées et mettez-les à tremper durant environ six heures. Egouttez-les et mixez-les en y ajoutant une cuillère à soupe de citron et une dizaine de feuilles d'aïl des ours.<br />Faites bouillir 1,5 litre de lait de soja nature et ajoutez-y trois cuillères à café de sel (ou, mieux, du nigari). En refroidissant, votre lait va cailler. C'est pour cela que, même végétal, le terme fromage reste employé&nbsp;!<br />Egouttez la préparation caillée dans une passoire et mélangez-la avec celle des noix de cajou. Réservez au frais avant de servir.</p> <p>Une variante&nbsp;? Au lieu d'utiliser du lait de soja, prenez 100 grammes de tofu que vous mixerez dès le départ avec les noix de cajou, le citron, le sel et l'aïl des ours.</p> <p>Pour tout savoir sur cette plante au goût et vertus formidables, (re)lisez l'article de (Re)bonds sur le livre de Linda Louis, «&nbsp;L'appel gourmand de la forêt&nbsp;» (Editions La Plage) ici&nbsp;: <a href="http://www.rebonds.net/quandlaforetdebordeetsepropage/461-lappelgourmanddelindalouis">http://rebonds.net/quandlaforetdebordeetsepropage/461-lappelgourmanddelindalouis</a></p> <p>Et pour tout savoir des fromages végétaux – ricotta, parmesan, bûche, cancoillotte ou encore gouda – ruez-vous sur celui de Marie Laforêt, «&nbsp;Fromages Vegan&nbsp;» (Editions La Plage)&nbsp;: <a href="https://www.laplage.fr/catalogue/fromages-vegan-marie-laforet/">https://www.laplage.fr/catalogue/fromages-vegan-marie-laforet/</a></p> <p></p> <p>&nbsp;</p> Grande 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/delagazettealantidote/85-recreations/501-grande Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/GRANDE.jpg" /></p><p><em></em>J'ai découvert ce duo sur la terrasse d'un salon de thé à Henrichemont, dans le Berry, et le voici programmé au festival du Printemps de Bourges. Ces derniers mois, Grande a fait un beau bout de chemin, doucement mais sûrement, à l'image de sa musique.</p> <p>L'univers de Grande ne peut laisser indifférent&nbsp;: la voix et la guitare de Gabriel Debray, le violon et les choeurs de Chloé Boureux produisent un son à la fois brut, mélancolique, rock et tendre… bref, qui touche droit au coeur et au ventre. Les compositions, originales, prennent le temps de la mélodie, de la répétition et des silences.&nbsp;Les sons virevoltent, passent au-dessus de nos têtes avant de rejoindre notre esprit…</p> <p>Il y a beaucoup d'amour dans la musique de Grande. Et ainsi, aussi, des questions, des colères, de l'espoir. L'inspiration des textes est puisée dans la culture populaire des contes, avec comme point de départ le mythe de la Petite Sirène. Le duo se sent proche de musiciens tels que les PJ Harvey, Agnès Obel, Mansfield Tya ou encore ceux de l'Irlande profonde.</p> <p>Depuis 2017, il multiplie les dates partout en France. Il était sur la grande scène Séraucourt du Printemps de Bourges le dimanche 21 avril. Le public était au rendez-vous&nbsp;: Chloé Boureux est bien connue dans le Cher, puisque sa famille y est installée et qu'elle s'est investie dans des associations locales telles que Viellux.</p> <p>Pour écouter et / ou acheter la musique de Grande, c'est ici&nbsp;: <a href="https://grannnde.bandcamp.com/album/grande">https://grannnde.bandcamp.com/album/grande</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">Article actualisé le mercredi 15 mai 2019.</span></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/GRANDE.jpg" /></p><p><em></em>J'ai découvert ce duo sur la terrasse d'un salon de thé à Henrichemont, dans le Berry, et le voici programmé au festival du Printemps de Bourges. Ces derniers mois, Grande a fait un beau bout de chemin, doucement mais sûrement, à l'image de sa musique.</p> <p>L'univers de Grande ne peut laisser indifférent&nbsp;: la voix et la guitare de Gabriel Debray, le violon et les choeurs de Chloé Boureux produisent un son à la fois brut, mélancolique, rock et tendre… bref, qui touche droit au coeur et au ventre. Les compositions, originales, prennent le temps de la mélodie, de la répétition et des silences.&nbsp;Les sons virevoltent, passent au-dessus de nos têtes avant de rejoindre notre esprit…</p> <p>Il y a beaucoup d'amour dans la musique de Grande. Et ainsi, aussi, des questions, des colères, de l'espoir. L'inspiration des textes est puisée dans la culture populaire des contes, avec comme point de départ le mythe de la Petite Sirène. Le duo se sent proche de musiciens tels que les PJ Harvey, Agnès Obel, Mansfield Tya ou encore ceux de l'Irlande profonde.</p> <p>Depuis 2017, il multiplie les dates partout en France. Il était sur la grande scène Séraucourt du Printemps de Bourges le dimanche 21 avril. Le public était au rendez-vous&nbsp;: Chloé Boureux est bien connue dans le Cher, puisque sa famille y est installée et qu'elle s'est investie dans des associations locales telles que Viellux.</p> <p>Pour écouter et / ou acheter la musique de Grande, c'est ici&nbsp;: <a href="https://grannnde.bandcamp.com/album/grande">https://grannnde.bandcamp.com/album/grande</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">Article actualisé le mercredi 15 mai 2019.</span></p> « Dijoncter » 2017-04-02T20:07:14+02:00 2017-04-02T20:07:14+02:00 http://www.rebonds.net/delagazettealantidote/85-recreations/502-dijoncter Super User <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/dijoncter.jpg" /></p><p><em></em>Pour fêter son premier anniversaire, le site Dijoncter.info s'offre une version papier. L'occasion de (re)découvrir ce média libre, engagé et participatif. Il fait partie du réseau MUTU qui regroupe d'autres médias de la même trempe. Celle des indispensables.</p> <p>Créé en 2018 par un collectif de bénévoles, non-professionnels de l'information, Dijoncter.info est, comme son nom l'indique, implanté à Dijon.</p> <p>Son but&nbsp;? Faire entendre la voix de ceux qui n'ont pas leur place dans les médias «&nbsp;traditionnels&nbsp;» et relayer les luttes. Il offre aussi une alternative aux grands groupes de communication et de presse, ainsi qu'aux réseaux sociaux.</p> <p>Les sujets traités concernent les luttes anti-racistes, écologiques, féministes, sociales… La dimension locale est centrale, mais Dijoncter.info relaie également les actions des mouvements de luttes sur d'autres territoires, notamment ceux couverts par les médias du réseau MUTU <span style="font-size: 8pt;">(1)</span>.<br />Celui-ci est composé d'une quinzaine de web-médias qui partagent des valeurs communes&nbsp;: une publication participative&nbsp;; une aide à la publication pour les rédacteurs.trices&nbsp;; l'ouverture à différents courants, collectifs…&nbsp;; des idées politiques anti-autoritaires&nbsp;; une volonté de diffuser le plus largement possible les informations&nbsp;; un ancrage dans un contexte local&nbsp;; et une volonté d'entraide entre les sites similaires.</p> <p>Au sein de la MUTU, on retrouve par exemple Paris-Luttes.info, Rebellyon.info, La Rotative à Tours ou encore La Bogue dans le Limousin.<br />Et Dijoncter.info, donc, sorti en version papier ce mercredi 10 avril. Pour connaître les lieux de distribution, tout savoir du site et pourquoi pas, participer, rendez-vous sur <a href="https://dijoncter.info/">https://dijoncter.info/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="https://reseaumutu.info">https://reseaumutu.info</a></span></p> <p></p> <p><img src="http://www.rebonds.net/images/CENTRE_DE_LA_PRESSE/dijoncter.jpg" /></p><p><em></em>Pour fêter son premier anniversaire, le site Dijoncter.info s'offre une version papier. L'occasion de (re)découvrir ce média libre, engagé et participatif. Il fait partie du réseau MUTU qui regroupe d'autres médias de la même trempe. Celle des indispensables.</p> <p>Créé en 2018 par un collectif de bénévoles, non-professionnels de l'information, Dijoncter.info est, comme son nom l'indique, implanté à Dijon.</p> <p>Son but&nbsp;? Faire entendre la voix de ceux qui n'ont pas leur place dans les médias «&nbsp;traditionnels&nbsp;» et relayer les luttes. Il offre aussi une alternative aux grands groupes de communication et de presse, ainsi qu'aux réseaux sociaux.</p> <p>Les sujets traités concernent les luttes anti-racistes, écologiques, féministes, sociales… La dimension locale est centrale, mais Dijoncter.info relaie également les actions des mouvements de luttes sur d'autres territoires, notamment ceux couverts par les médias du réseau MUTU <span style="font-size: 8pt;">(1)</span>.<br />Celui-ci est composé d'une quinzaine de web-médias qui partagent des valeurs communes&nbsp;: une publication participative&nbsp;; une aide à la publication pour les rédacteurs.trices&nbsp;; l'ouverture à différents courants, collectifs…&nbsp;; des idées politiques anti-autoritaires&nbsp;; une volonté de diffuser le plus largement possible les informations&nbsp;; un ancrage dans un contexte local&nbsp;; et une volonté d'entraide entre les sites similaires.</p> <p>Au sein de la MUTU, on retrouve par exemple Paris-Luttes.info, Rebellyon.info, La Rotative à Tours ou encore La Bogue dans le Limousin.<br />Et Dijoncter.info, donc, sorti en version papier ce mercredi 10 avril. Pour connaître les lieux de distribution, tout savoir du site et pourquoi pas, participer, rendez-vous sur <a href="https://dijoncter.info/">https://dijoncter.info/</a></p> <p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="https://reseaumutu.info">https://reseaumutu.info</a></span></p> <p></p>