#23 Mobilisé.es pour la planète (mars 2019)(Re)bonds est un magazine mensuel créé par Fanny Lancelin, journaliste installée dans le Cher. Son but : à travers, des portraits d'habitant.es du Berry, raconter des parcours alternatifs, des modes de vie où le respect des êtres vivants et de leur environnement tient une place centrale.http://www.rebonds.net/23bismobiliseespourlaplanete/83-recreations2023-05-11T19:40:08+02:00(Re)bonds.netJoomla! - Open Source Content Management« Mon pays sauvage, my wild country », Faustine Brunet2017-04-02T20:07:14+02:002017-04-02T20:07:14+02:00http://www.rebonds.net/23bismobiliseespourlaplanete/83-recreations/492-monpayssauvageSuper User<p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/mon_pays_sauvage.jpg" /></p><p>Comment parler d'accident nucléaire à un enfant ? Pour l'informer, titiller sa conscience, mais sans l'angoisser ? C'est le défi que s'est lancé l'auteure et illustratrice Faustine Brunet, en réalisant ce bel ouvrage à lire aux petits dès l'âge de 5 ans (éditions Bluedot).</p>
<p>Pas de morts, de bâtiments abandonnés, de centrales éventrées ou de silhouettes en combinaisons blanches. Ici, l'accident nucléaire est subtilement évoqué : lorsqu'un nuage rose passe au-dessus de leurs têtes, les habitants du pays sauvage commencent à tomber malades. Ils voient moins d'animaux et la nature dépérit. Cela suffit, lorsqu'on est tout-petit, à comprendre que la situation est grave, non ?<br />Ce conte, écologique et poétique, est une entrée en matière pour tenter d'expliquer l'impossible, mais aussi pour assurer que l'issue fatale n'est pas obligatoire. On peut alors parler à l'enfant des énergies renouvelables, des gestes pour une vie plus sobre et ainsi, terminer sur un discours rassurant.<br />A l'intérieur de l'ouvrage, les lecteurs découvriront également une double page de jeux, réalisée en partenariat avec les associations Hespul et négaWatt.</p>
<p>A souligner : « Mon pays sauvage » est doublement titré « My wild country » car il est bilingue français-anglais. Une version audio est aussi accessible sur le site de l'éditeur : <a href="http://www.editionsbluedot.com/mon-pays-sauvage-my-wild-country/">http://www.editionsbluedot.com/mon-pays-sauvage-my-wild-country/</a></p>
<p>Pour acquérir le livre, rendez-vous sur le site du Réseau Sortir du Nucléaire : <a href="https://boutique.sortirdunucleaire.org/index.php?id_product=479&controller=product">https://boutique.sortirdunucleaire.org/index.php?id_product=479&controller=product</a></p>
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<p></p><p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/mon_pays_sauvage.jpg" /></p><p>Comment parler d'accident nucléaire à un enfant ? Pour l'informer, titiller sa conscience, mais sans l'angoisser ? C'est le défi que s'est lancé l'auteure et illustratrice Faustine Brunet, en réalisant ce bel ouvrage à lire aux petits dès l'âge de 5 ans (éditions Bluedot).</p>
<p>Pas de morts, de bâtiments abandonnés, de centrales éventrées ou de silhouettes en combinaisons blanches. Ici, l'accident nucléaire est subtilement évoqué : lorsqu'un nuage rose passe au-dessus de leurs têtes, les habitants du pays sauvage commencent à tomber malades. Ils voient moins d'animaux et la nature dépérit. Cela suffit, lorsqu'on est tout-petit, à comprendre que la situation est grave, non ?<br />Ce conte, écologique et poétique, est une entrée en matière pour tenter d'expliquer l'impossible, mais aussi pour assurer que l'issue fatale n'est pas obligatoire. On peut alors parler à l'enfant des énergies renouvelables, des gestes pour une vie plus sobre et ainsi, terminer sur un discours rassurant.<br />A l'intérieur de l'ouvrage, les lecteurs découvriront également une double page de jeux, réalisée en partenariat avec les associations Hespul et négaWatt.</p>
<p>A souligner : « Mon pays sauvage » est doublement titré « My wild country » car il est bilingue français-anglais. Une version audio est aussi accessible sur le site de l'éditeur : <a href="http://www.editionsbluedot.com/mon-pays-sauvage-my-wild-country/">http://www.editionsbluedot.com/mon-pays-sauvage-my-wild-country/</a></p>
<p>Pour acquérir le livre, rendez-vous sur le site du Réseau Sortir du Nucléaire : <a href="https://boutique.sortirdunucleaire.org/index.php?id_product=479&controller=product">https://boutique.sortirdunucleaire.org/index.php?id_product=479&controller=product</a></p>
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<p></p>« Habiter là »2017-04-02T20:07:14+02:002017-04-02T20:07:14+02:00http://www.rebonds.net/23bismobiliseespourlaplanete/83-recreations/493-habiterlaSuper User<p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/habiter_là.jpg" /></p><p><em></em>Jusqu'au 27 avril, dans ma Mayenne natale, se déroule un festival qui s'intéresse aux questions de l'habiter. Notez bien, pas seulement de l'habitat. De l'habiter. De ce qu'on habite et de ce qui nous habite, de ce qui fait de nous un.e habitant.e parmi d'autres et avec les autres. Au coeur de cette quatrième édition : l'accueil.</p>
<p>Le festival est organisé par le collectif 2-4, lui-même « accueilli » dans un local du bourg de Pré-en-Pail : une friche commerciale de 1.000 m², investie depuis 2011 par les associations Payaso Loco et le comité local du Secours Populaire qui ont créé le collectif. L'objectif : vivre et proposer à tous.tes, une expérimentation d'économie sociale et solidaire au coeur d'un territoire rural. Elles ont été rejointes depuis par le cabinet Emile R., qui souhaite impliquer les habitant.es dans une réflexion sur les espaces bâtis. Régulièrement, des événements culturels, et des animations conviviales et familiales, sont organisés.<br />Le festival « Habiter là » est né il y a quatre ans. Il se déroule chaque fois de janvier à avril, à Pré-en-Pail et ses alentours. Au programme : des ateliers de concertation et d'écriture, des chantiers, des expositions, des conférences, des projections de films, des spectacles interactifs…<br />A venir, par exemple : deux résidences (l'une de l'artiste contemporain Kevin Dutertre et l'autre de la compagnie A l'envers) ; un chantier participatif ; une table ronde sur les formes et les pratiques de l’innovation culturelle en milieu rural.</p>
<p>Le thème de la quatrième édition est l'accueil, comme le souligne l'éditorial sur le site Internet :<em> « Accueillir qui, comment, pourquoi ? Accueillir ici, accueillir ailleurs ? Qu’est-ce qu’un espace d’accueil, un lieu d’accueil, un territoire accueillant ? </em><em>Accueillir l’ordinaire, accueillir l’extraordinaire. Accueillir au quotidien, accueillir l’inattendu. Accueillir les proches, les voisins, les étrangers. Accueillir ceux qui cherchent, ceux qui en ont besoin, ceux qui ne s’y attendent pas. Accueillir des nouveaux, les anciens et aussi les autres. »</em></p>
<p>Tout le programme et les liens vers les projets du collectif 2-4 sont ici : <a href="https://collectif2-4.org/habiter_la_4/">https://collectif2-4.org/habiter_la_4/</a></p>
<p> </p><p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/habiter_là.jpg" /></p><p><em></em>Jusqu'au 27 avril, dans ma Mayenne natale, se déroule un festival qui s'intéresse aux questions de l'habiter. Notez bien, pas seulement de l'habitat. De l'habiter. De ce qu'on habite et de ce qui nous habite, de ce qui fait de nous un.e habitant.e parmi d'autres et avec les autres. Au coeur de cette quatrième édition : l'accueil.</p>
<p>Le festival est organisé par le collectif 2-4, lui-même « accueilli » dans un local du bourg de Pré-en-Pail : une friche commerciale de 1.000 m², investie depuis 2011 par les associations Payaso Loco et le comité local du Secours Populaire qui ont créé le collectif. L'objectif : vivre et proposer à tous.tes, une expérimentation d'économie sociale et solidaire au coeur d'un territoire rural. Elles ont été rejointes depuis par le cabinet Emile R., qui souhaite impliquer les habitant.es dans une réflexion sur les espaces bâtis. Régulièrement, des événements culturels, et des animations conviviales et familiales, sont organisés.<br />Le festival « Habiter là » est né il y a quatre ans. Il se déroule chaque fois de janvier à avril, à Pré-en-Pail et ses alentours. Au programme : des ateliers de concertation et d'écriture, des chantiers, des expositions, des conférences, des projections de films, des spectacles interactifs…<br />A venir, par exemple : deux résidences (l'une de l'artiste contemporain Kevin Dutertre et l'autre de la compagnie A l'envers) ; un chantier participatif ; une table ronde sur les formes et les pratiques de l’innovation culturelle en milieu rural.</p>
<p>Le thème de la quatrième édition est l'accueil, comme le souligne l'éditorial sur le site Internet :<em> « Accueillir qui, comment, pourquoi ? Accueillir ici, accueillir ailleurs ? Qu’est-ce qu’un espace d’accueil, un lieu d’accueil, un territoire accueillant ? </em><em>Accueillir l’ordinaire, accueillir l’extraordinaire. Accueillir au quotidien, accueillir l’inattendu. Accueillir les proches, les voisins, les étrangers. Accueillir ceux qui cherchent, ceux qui en ont besoin, ceux qui ne s’y attendent pas. Accueillir des nouveaux, les anciens et aussi les autres. »</em></p>
<p>Tout le programme et les liens vers les projets du collectif 2-4 sont ici : <a href="https://collectif2-4.org/habiter_la_4/">https://collectif2-4.org/habiter_la_4/</a></p>
<p> </p>« Nous étions debout et nous ne le savions pas », Catherine Zambon2017-04-02T20:07:14+02:002017-04-02T20:07:14+02:00http://www.rebonds.net/23bismobiliseespourlaplanete/83-recreations/494-nousetionsdeboutetnousnelesavionspasSuper User<p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/Couverture_debout3-325x460.jpg" /></p><p><em></em>Sous-titré « Autour des luttes et résistances citoyennes », ce texte prend corps sur scène, au théâtre. L'auteure, Catherine Zambon, écrit à partir d'expériences vécues en immersion, de témoignages soigneusement et longuement collectés, de la traversée de nombreux territoires. Ici, elle explore le thème des conséquences de l'engagement, « de ce qu'elles produisent dans une vie ».</p>
<p>Le projet est né en 2014 lorsque Catherine Zambon entend, une fois de trop, que les « jeunes » aujourd'hui ne savent pas s'engager. Vraiment ? Elle décide de vérifier par elle-même. Pendant les mois qui vont suivre, elle se rend sur les lieux de résistance de ce siècle : la Zone A Défendre (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes, Roybon, Sivens, Saillans, Rouen… Elle rencontre des jeunes, mais pas seulement, et s'interroge :<em> « Comment des citoyens, villageois paisibles, médecins, instituteurs, travailleurs de l'imprimerie, agriculteurs, retraités sont devenus en quelques mois des militants acharnés ? Qu'est-ce qui les a mis en route ? Qu'est-ce qui les fait tenir ? En quoi cet engagement modifie leur vie ? »</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span></p>
<p>Grâce à une bourse du Conseil National du Livre (CNL), elle prend le temps de l'observation, des rencontres, des questionnements, de la confrontation des points de vue… Si son travail s'apparente à celui d'une chercheuse ou d'une journaliste, elle reste avant tout une dramaturge : <em>« Mon écriture finira par se moquer de l'exactitude. Je ne suis pas un écrivain du réel, car l'objectivité ne se revendique pas comme telle dans mon univers poétique. Je poursuis juste une intuition. »</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span></p>
<p>En 2016, les premières lectures du texte sont organisées. Elles se poursuivent en 2017 et 2018, notamment à Villefranche-sur-Saône (lieu de naissance de Catherine Zambon) et Bure. <em>« Un jour, on se lève. On a 20 ans. On en a 50 ou 70 peu importe. On décide ce jour-là d’aller en rejoindre d’autres. Ceux qui s’assemblent. On devient l’un des leurs. Une heure. Ou 30 ans. Cela fera de soi un sympathisant. Voire un opposant. Certains diront : un résistant. Projet d’aéroport, usines à vaches ou à porcs, enfouissements de déchets hautement radioactifs… Ce texte rend hommage aux femmes et hommes qui s’engagent dans ces combats »</em>, écrit Catherine Zambon.</p>
<p>Depuis ce vendredi 15 mars, son texte est en création à Toulouse avec l'Agit, une compagnie de théâtre itinérant. Les premières dates sont prévues en mai à Toulouse et cet été à Villeneuve-Lez-Avignon<span style="font-size: 8pt;"> (2)</span>.<br />L'ouvrage (aux éditions La Fontaine) est toujours disponible en librairie <span style="font-size: 8pt;">(3)</span>.</p>
<p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="http://www.catherinezambon.com/index.php?/en-cours/en-chantier/">http://www.catherinezambon.com/index.php?/en-cours/en-chantier/</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(2) <a href="https://www.agit-theatre.org/creation/etions-debout-ne-savions-catherine-zambon/">https://www.agit-theatre.org/creation/etions-debout-ne-savions-catherine-zambon/</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(3) <a href="http://editionslafontaine.fr/produit/nous-etions-debout-et-nous-ne-le-savions-pas-oppositions-resistances/">http://editionslafontaine.fr/produit/nous-etions-debout-et-nous-ne-le-savions-pas-oppositions-resistances/</a></span></p><p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/Couverture_debout3-325x460.jpg" /></p><p><em></em>Sous-titré « Autour des luttes et résistances citoyennes », ce texte prend corps sur scène, au théâtre. L'auteure, Catherine Zambon, écrit à partir d'expériences vécues en immersion, de témoignages soigneusement et longuement collectés, de la traversée de nombreux territoires. Ici, elle explore le thème des conséquences de l'engagement, « de ce qu'elles produisent dans une vie ».</p>
<p>Le projet est né en 2014 lorsque Catherine Zambon entend, une fois de trop, que les « jeunes » aujourd'hui ne savent pas s'engager. Vraiment ? Elle décide de vérifier par elle-même. Pendant les mois qui vont suivre, elle se rend sur les lieux de résistance de ce siècle : la Zone A Défendre (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes, Roybon, Sivens, Saillans, Rouen… Elle rencontre des jeunes, mais pas seulement, et s'interroge :<em> « Comment des citoyens, villageois paisibles, médecins, instituteurs, travailleurs de l'imprimerie, agriculteurs, retraités sont devenus en quelques mois des militants acharnés ? Qu'est-ce qui les a mis en route ? Qu'est-ce qui les fait tenir ? En quoi cet engagement modifie leur vie ? »</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span></p>
<p>Grâce à une bourse du Conseil National du Livre (CNL), elle prend le temps de l'observation, des rencontres, des questionnements, de la confrontation des points de vue… Si son travail s'apparente à celui d'une chercheuse ou d'une journaliste, elle reste avant tout une dramaturge : <em>« Mon écriture finira par se moquer de l'exactitude. Je ne suis pas un écrivain du réel, car l'objectivité ne se revendique pas comme telle dans mon univers poétique. Je poursuis juste une intuition. »</em> <span style="font-size: 8pt;">(1)</span></p>
<p>En 2016, les premières lectures du texte sont organisées. Elles se poursuivent en 2017 et 2018, notamment à Villefranche-sur-Saône (lieu de naissance de Catherine Zambon) et Bure. <em>« Un jour, on se lève. On a 20 ans. On en a 50 ou 70 peu importe. On décide ce jour-là d’aller en rejoindre d’autres. Ceux qui s’assemblent. On devient l’un des leurs. Une heure. Ou 30 ans. Cela fera de soi un sympathisant. Voire un opposant. Certains diront : un résistant. Projet d’aéroport, usines à vaches ou à porcs, enfouissements de déchets hautement radioactifs… Ce texte rend hommage aux femmes et hommes qui s’engagent dans ces combats »</em>, écrit Catherine Zambon.</p>
<p>Depuis ce vendredi 15 mars, son texte est en création à Toulouse avec l'Agit, une compagnie de théâtre itinérant. Les premières dates sont prévues en mai à Toulouse et cet été à Villeneuve-Lez-Avignon<span style="font-size: 8pt;"> (2)</span>.<br />L'ouvrage (aux éditions La Fontaine) est toujours disponible en librairie <span style="font-size: 8pt;">(3)</span>.</p>
<p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="http://www.catherinezambon.com/index.php?/en-cours/en-chantier/">http://www.catherinezambon.com/index.php?/en-cours/en-chantier/</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(2) <a href="https://www.agit-theatre.org/creation/etions-debout-ne-savions-catherine-zambon/">https://www.agit-theatre.org/creation/etions-debout-ne-savions-catherine-zambon/</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(3) <a href="http://editionslafontaine.fr/produit/nous-etions-debout-et-nous-ne-le-savions-pas-oppositions-resistances/">http://editionslafontaine.fr/produit/nous-etions-debout-et-nous-ne-le-savions-pas-oppositions-resistances/</a></span></p>Le Festival des Possibles2017-04-02T20:07:14+02:002017-04-02T20:07:14+02:00http://www.rebonds.net/23bismobiliseespourlaplanete/83-recreations/495-lefestivaldespossiblesSuper User<p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/le_festival_des_possibles.jpg" /></p><p><em></em>Un nouveau festival de films s'apprête à voir le jour, au titre résolument positif et optimiste : le Festival des Possibles ! Créé par l'association Le Ruban Vert, il se déroulera en novembre à Sens, dans l'Yonne. Mais les organisateurs lancent d'ores et déjà un appel.</p>
<p><em>« Le travail pour réussir ce nouveau projet est considérable : recherche des films, constitution du jury, visibilité médiatique et réseaux sociaux, attraction du public tant d’Ile-de-France que local ou de Bourgogne-Franche-Comté,</em> expliquent les organisateurs dans une annonce parue dans le magazine Reporterre<span style="font-size: 8pt;"> (1)</span>. <em>Nous recherchons actuellement des mécènes, des réseaux de diffusion, des contacts. »</em> Nous ? Les membres de l'association Le Ruban Vert qui agissent tout au long de l'année pour protéger et restaurer un corridor écologique : celui qui relie le massif forestier de la Forêt d’Othe aux espaces naturels, forêts et étangs du Gâtinais, autour de la Clairis, des étangs de Béon…<span style="font-size: 8pt;"> (2)</span></p>
<p>Elle élargit son champ d'action en proposant ce festival des possibles et s'entoure, pour cela, de nombreux partenaires, institutionnels, associatifs, économiques. L'objectif : montrer que <em>« l'écologie peut apporter de la valeur à un territoire en y attirant de nouvelles activités »</em>. Le festival sera ouvert aux différents formats de films comme les documentaires, fictions, courts-métrages et webdocumentaires. Les sujets abordés mettront en lumière <em>« des actions, des réalisations, des innovations, des projets, des hommes et des femmes dans les domaines de la transition écologique, l’énergie, l’économie circulaire et la biodiversité ».</em> Le jury sera composé <em>« d’une dizaine de personnalités issues du monde associatif, de l’enseignement supérieur, des médias et du monde de l’entreprise »</em>.</p>
<p>Vous avez des idées, des contacts, des fonds ? Proposez-les à <a href="mailto:contact@lefestivaldespossibles.net">contact@lefestivaldespossibles.net</a> ou à <a href="mailto:olivier.pingard@lefestivaldespossibles.net">olivier.pingard@lefestivaldespossibles.net</a></p>
<p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="https://reporterre.net/Le-Festival-des-possibles">https://reporterre.net/Le-Festival-des-possibles</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(2) <a href="http://lerubanvert.net/">http://lerubanvert.net/</a></span></p><p><img src="http://www.rebonds.net/images/PRINTEMPS_DES_MOBILISATIONS/le_festival_des_possibles.jpg" /></p><p><em></em>Un nouveau festival de films s'apprête à voir le jour, au titre résolument positif et optimiste : le Festival des Possibles ! Créé par l'association Le Ruban Vert, il se déroulera en novembre à Sens, dans l'Yonne. Mais les organisateurs lancent d'ores et déjà un appel.</p>
<p><em>« Le travail pour réussir ce nouveau projet est considérable : recherche des films, constitution du jury, visibilité médiatique et réseaux sociaux, attraction du public tant d’Ile-de-France que local ou de Bourgogne-Franche-Comté,</em> expliquent les organisateurs dans une annonce parue dans le magazine Reporterre<span style="font-size: 8pt;"> (1)</span>. <em>Nous recherchons actuellement des mécènes, des réseaux de diffusion, des contacts. »</em> Nous ? Les membres de l'association Le Ruban Vert qui agissent tout au long de l'année pour protéger et restaurer un corridor écologique : celui qui relie le massif forestier de la Forêt d’Othe aux espaces naturels, forêts et étangs du Gâtinais, autour de la Clairis, des étangs de Béon…<span style="font-size: 8pt;"> (2)</span></p>
<p>Elle élargit son champ d'action en proposant ce festival des possibles et s'entoure, pour cela, de nombreux partenaires, institutionnels, associatifs, économiques. L'objectif : montrer que <em>« l'écologie peut apporter de la valeur à un territoire en y attirant de nouvelles activités »</em>. Le festival sera ouvert aux différents formats de films comme les documentaires, fictions, courts-métrages et webdocumentaires. Les sujets abordés mettront en lumière <em>« des actions, des réalisations, des innovations, des projets, des hommes et des femmes dans les domaines de la transition écologique, l’énergie, l’économie circulaire et la biodiversité ».</em> Le jury sera composé <em>« d’une dizaine de personnalités issues du monde associatif, de l’enseignement supérieur, des médias et du monde de l’entreprise »</em>.</p>
<p>Vous avez des idées, des contacts, des fonds ? Proposez-les à <a href="mailto:contact@lefestivaldespossibles.net">contact@lefestivaldespossibles.net</a> ou à <a href="mailto:olivier.pingard@lefestivaldespossibles.net">olivier.pingard@lefestivaldespossibles.net</a></p>
<p><span style="font-size: 8pt;">(1) <a href="https://reporterre.net/Le-Festival-des-possibles">https://reporterre.net/Le-Festival-des-possibles</a></span><br /><span style="font-size: 8pt;">(2) <a href="http://lerubanvert.net/">http://lerubanvert.net/</a></span></p>